Rue "rompe cul" autrefois, rue Beauregard maintenant, sans doute pour la bonne moralité de la ville
Politiquement correct
Rue "rompe cul" autrefois, rue Beauregard maintenant, sans doute pour la bonne moralité de la ville
Vissi d'arte, vissi d'amore, non feci mai male ad anima viva !
Pour montrer à la population que cet opéra est bien le sien le maire Flaissière siège avec ses adjoints au "poulailler", le reste de la salle étant occupé par des Marseillais tirès au sort à partir des listes électorales.
En septembre 2007 est créé dans ce lieu l'opéra Marius et Fanny, inspiré des deux premiers volumes de la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol. Opéra composé par Vladimir Cosma, avec dans les rôles titres Roberto Alagna et Angela Gheorghiu.
Une île au milieu de la mer ...
Cette place forte avancée ne fut jamais utilisée en tant que telle !
H1N1 : réouverture prochaine
L'intendance sanitaire se situe en contrebas de l’esplanade de la Tourette, juste à côté de la Tour du Roi René (Fort Saint Jean)
C’est en 1719 que s’ajoute aux quarantaines prévues sur les îles du Frioul et à la rade flottante située au pied du fort Saint-Jean, la fameuse consigne sanitaire qui devient le siège du bureau de la santé.
Point zéro
Le clocher des Acoules
Un Marseillais, une anecdote, une expression
L'évènement qui devait marquer pour la postérité l'épiscopat de Mgr. de Belsunce fut la grande Peste de Marseille de 1720. Son attitude pendant cette période fut pour certains héroïque pour d'autres pas très courageuse. Il faut cependant souligner son dévouement infatigable auprès des malades.
Pendant l'occupation, les allemands se livrèrent à une recherche de métaux non ferreux. En avril 1944 des résistants abritèrent les 2800 kgs de bronze de la statue sous des branchages dans un entrepôt où les allemands ne la décelèrent jamais. Le jour de la libération de la ville, la statue fut découverte en fanfare et illuminée de lampions.
La position adoptée par sa statue, les bras ouverts avec les paumes vers le haut font ressembler Belsunce à quelqu'un qui a les mains vides, d'où l'expression marseillaise « arriver comme Belsunce », c'est-à-dire les mains vides.